Inhumain

Science fiction addictive et fable philosophique

La souffrance est-elle forcément le prix de la liberté ? telle est une des nombreuses questions que pose ce one-shot surprenant et spectaculaire qui explore à la fois les entrailles d’un monde mystérieux et les tréfonds de l’âme humaine.

Inhumain est dessiné par Thibaud de Rochebrune sur un scénario de Valérie Mangin et Denis Bajram. Il est publié en collection Aire Libre, aux éditions Dupuis.

Inhumain

Dans un moment de folie, un petit vaisseau spatial en mission d’exploration s’écrase sur une planète océan inconnue. Heureusement des sortes de pieuvres géantes aident les cinq rescapés à remonter à la surface et à rejoindre la seule île à l’horizon. À leur grande surprise, ils sont accueillis sur le rivage par des humains aussi primitifs que bienveillants. Si ces hommes et femmes au sourire figé se révèlent être cannibales, le plus inquiétant reste leur totale docilité. Les naufragés sont-ils condamnés eux aussi à se soumettre à la volonté du mystérieux Grand Tout ?

Inhumain : quintessence

Alors que le Grand Tout s’est retiré de l’île, mis en échec et laissant les humains désormais maîtres de leur conscience, ces derniers font ensemble leurs premiers pas en société. Mais déjà les premières tensions apparaissent entre les différentes tribus tandis qu’une expédition hors de l’île se décide, menée par Tafsir. Que se cache-t-il au-delà du récif corallien, et surtout, où sont donc passés le Grand Tout et ses mystérieux protecteurs ? Après une première partie qui interrogeait la liberté et son prix, cette suite explore les notions de société et d’individualité. Si nous pouvions recommencer tout depuis le début, saurions-nous faire une société sans reproduire les erreurs du passé ?

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