Le festival d’Angoulême arrive dans deux semaines avec son cortège de son nouveautés. Pour moi, ce sera Le Bogeyman, le tome 1 du Club des Prédateurs, un conte gothique dans l’esprit du Petit Miracle.
Réalisé avec Steven Dupré au dessin et Roberto Burgazzoli aux couleurs, il se déroule dans le Londres inquiétant de 1865.
“Là, tandis que dans leurs clubs, les gentlemen font bonne chère, dans leurs usines les enfants des pauvres se tuent au travail. Tout autour, le brouillard dissimule mal les monstres et les criminels. Jack un petit ramoneur insoumis, voudrait combattre tous ces prédateurs, et en particulier l’effrayant Bogeyman, le meurtrier de son père. Le hasard va le rapprocher d’une très jeune héritière, Liz, qui pourrait changer sa vie. Mais des rues mal famées jusqu’au Club le plus select, leur innocence va laisser place à la pure terreur.”
Âmes sensibles s’abstenir.