La grande épouse royale de Ramsès II dans le métro parisien, on aura tout vu ! Pourquoi pas un dieu à tête de faucon, aussi ?
Ci-dessous : extrait de « Nefertari », histoire courte réalisée par Raymond Poïvet (17 juin 1910 – 30 août 1999) et parue dans le n°23 de l’Echo des savanes, du deuxième trimestre 1976.
Le récit complet (11 pages) peut être lu ici : Raymond Poïvet sur BDZoom 2
Et la première partie de l’article pour (re)découvrir Poïvet : Raymond Poïvet sur BDZoom 1
De nouvelles cases du Disque d’Osiris, le tome 12 d’Alix senator, ça vous tente ?
Alors rien que pour vos yeux, voici l’île de Philae et le départ de nos héros pour la grande aventure.
À paraître le 22 septembre prochain aux éditions Casterman.
Avec Thierry Démarez au dessin, Jean-Jacques Chagnaud à la couleur, Jimmy Vanden Hautte et Clément Fourrey à l’éditorial.
Depuis le début du mois, vous pouvez retrouver en librairie le Tezucomi 2 aux Éditions Delcourt-Tonkam. J’y ai participé avec une histoire courte dessinée par mon ami (et néanmoins talentueux auteur) Brice Cossu.
Tous les deux, nous avons eu le grand plaisir de rendre hommage à un des maîtres incontestés de la Bande Dessinée mondiale : Osamu Tezuka. Nous avons imaginé une variation SF du début de La Vie de Bouddha en essayant de renouveler le mythe japonais du Lapin de la Lune.
Nous sommes en bonne compagnie dans ce volume puisque vous y trouverez aussi :
– Bokutengou qui reprend Vampires
– Ishida Atsuko qui reprend Nanairo inko
– Tokimaru Yoshihisa qui reprend Black Jack
– Buredo qui reprend Princesse Saphir
– Mathieu Bablet qui reprend Metropolis
– Luis Nct qui reprend Le Chant d’Apollon
– Kenny Ruiz qui reprend La Légende de Songoku
– MIG qui reprend Unico
Aujourd’hui, je me mets au synopsis du tome 14 d’ Alix Senator, souhaitez-moi bonne chance.
(Bon sang, dire qu’en 2012, j’avais signé pour 3 tomes)
Alix Senator, deux strips noir et blanc et couleurs juste pour le plaisir.
Tome 12, le Disque d’Osiris, à paraître le 22 septembre prochain.
Avec Thierry Démarez au dessin, Jean-Jacques Chagnaud aux couleurs, Jimmy Vanden Hautte et Clément Fourrey à l’éditorial, le tout aux éditions Casterman.
Yves Chaland, 3 avril 1957-18 juillet 1990.
La mort de Clytemnestre ?
Retrouvez-moi à toute heure du jour et de la nuit sur le podcast Bulle d’Histoire de la radio Art disctrict. J’ai eu le plaisir de d’y être interviewée, il y a quelques jours, par Stéphane Dubreil pour parler de l’Esclave de Khorsabad et du “succès d’Alix senator” en général. Un grand merci à lui !
C’est par ici: Podcast Bulles d’Histoire: le succès d’Alix senator
Fra Angelico, un des plus grands peintres du Quattrocento mort à Rome le 18 février 1455, a réalisé les trois séries de panneaux que je vous montre ci-dessous.
Représentant des scènes de la vie du Christ, elles forment une curieuse bande dessinée archaïque. Chaque « case » qui fait à peu près la taille d’un vinyle, est encadrée par deux « cartouches » qui l’explicitent. Celui du bas contient une sentence évangélique et celui du haut un texte de l’Ancien Testament.
À l’origine, ces panneaux ornaient l’armoire recevant les offrandes précieuses destinées à la fresque « miraculeuse » de l’Annonciation de l’église de la Santissima Annunziata de Florence. Ils ont été peints vers 1450-1452 et sont aujourd’hui conservés au Musée de San Marco de la ville.
Amis amateurs d’art (et de malédiction) antique, pour tout savoir sur la mystérieuse Khorsabad, où Alix Senator a vécu sa dernière aventure, retrouvez-moi sur ce réjouissant podcast réalisé par Martin Quenehen, avec Ariane Thomas, directrice du département des Antiquités orientales du Musée du Louvre, Michael Rakowitz, artiste et Lionel Marti, archéologue et assyriologue au Collège de France.
“Dans la cour Khorsabad, deux gigantesques taureaux ailés à tête d’homme nous observent. Sculptés il y a près de trois mille ans, ils ont quelque chose de tranquille et même de bienveillant. Ils sont cependant porteurs d’une terrible malédiction. Une malédiction qui a frappé les ennemis du roi assyrien Sargon II, leur « maître », mais qui lui a peut-être aussi coûté la vie.”